Plusieurs acteurs de développement durable et inclusif parmi lesquels le Directeur de l’Administration Pénitentiaire et de la Réinsertion (DAPR), Akibou IDRISSOU, le reconnait : « les conditions de détention dans les prisons togolaises ne sont pas encore les meilleures » malgré les efforts du gouvernement et des partenaires.
Au nombre des problèmes majeurs à relever, figurent en bonne position la surpopulation des détenus, la sous-alimentation, l’hygiène- assainissement et le manque d’initiatives de réinsertion socio-professionnelle. Aussi, l’énergie est un grand souci dans les milieux carcéraux. A en croire la DAPR pour exemple, près de 30 titans de bois de chauffe ( équivalent de 1800m3) sont nécessaires pour la cuisson dans les prisons ; une information qui interpelle plus d’un quand on sait que la déforestation est aussi un fléau contre lequel des initiatives se prennent pour restaurer le couvert forestier au Togo. Heureusement, il existe plusieurs alternatives ou solutions à expérimenter dans les geôles togolaises. L’installation de digesteurs pourra résoudre le souci énergétique, annonce des experts dans le domaine. En outre, des acteurs de la société civile pensent à une synergie d’actions pour apporter des solutions à ces problèmes cités.
Suivez dans ce grand dossier reportage, les détails sur le sujet.
Chris. A